Il y’aurait tant à dire. Du dernier dessin presque prophétique, de l’immense tristesse qui nous touche tous, ou presque, de cet assaut délibéré contre la liberté d’expression et la liberté de la presse, de cette inexorable montée de l’intégrisme, du radicalisme, du terrorisme et autres mots en -isme, de cette perte de confiance envers les gens qui nous entourent, du repli sur soi, de la peur, tout simplement.
Mais je crois qu’en réalité, il n’y a rien à dire. A toute l’équipe de Charlie (et aux représentants des forces de l’ordre), reposez en paix, vous allez nous manquer.